Un jour, deux jours, trois jours...
Le temps. Le temps passe, tout s'éloigne ou se rapproche.
On est impatient qu'il se rapproche de plus en plus. On a pas envie qu'il s'éloigne.
On voudrait vivre ce qu'on souhaite vivre au moment où on en a envie. Ne pas attendre, attendre que ça s'éloigne de plus en plus pour que ça se rapproche de plus en plus.
Foule sentimentale ou les foules de sentiments.
Les ? La foule de sentiments, pourrions nous même dire.
Une rencontre. Une histoire. Des premières fois pour tout entre nous. Des premières fois tout court.
Tout va bien, on a oublier le reste pour ne se concentrer et ne vivre qu'en pensant qu'à lui.
Une apparition, un croisement, un "bonjour!", des sentiments qui remontent... Non, ces sentiments sont enfouis. Ce sont des nouveaux qui apparaissent à présent. Des nouveaux, qui remettent en question les autres qui ont été balayés quelques instants lorsque le coeur c'est serré juste après ce "bonjour!".
Un "bonjour!", juste un mot. Pas plus. Impossible. Ce ne serait pas plus mal en fait. Une conversation ou même quelques mots échangés auraient peut être prouver leurs efficacités a remonter les sentiments enfouis. Et peut-être même les intensifier.
En un regard, on se rappelle pourquoi on a pu ressentir ça.
Dans notre tête, on peut tout changer, tout modifier, tout transformer. Et ce, uniquement pour se faire une raison, pour oublier.
Rien de fort ne s'est produit, en tout cas sur le plan physique, car peut on en dire de même sur un autre plan. Peut-être aurait il fallu. Peut-être cela aurait eu l'avantage de pouvoir achever ces sentiments. Il y a une impression qui flotte dans l'air, cette impression que tout cela est resté en suspend, en pause, et qu'il suffirait de si peu pour reprendre la lecture, pour finir ce qui a été commencé. Afin de mettre un point final ou de commencer autre chose selon.
Pourtant, celui des premières fois, il n'est pas oublié. Il est bien là, il se mélange a ces nouveaux sentiments. Le rappel de ce qui a pu se passer, comparé à ce qui a pu se passer avec celui des nouveaux sentiments, fait le poid. Ce qui le rend plus léger, c'est de le mettre face à ces nouveaux sentiments. Ces nouveaux sentiments qui sont alliés à des questions et des rêves (des espérances...?) de ce qui aurait pu se passer si; de ce qui pourrait se passer si; de ce qui peut (encore ?) se passer si...
L'éloignement est présent avec les deux. Celui des sentiments enfouis est loin des yeux, c'est une bonne chose, il permettra à ce que les choses reprennent leur cours, comme avant... avant le "bonjour!" . Celui des premières fois est loin, est ce une si mauvaise chose ? S'il était prêt, est ce que celui des sentiments enfouis n'aurait pas un avantage ?
Loin des yeux, loin du coeur... Ce n'est pas tout à fait ça... C'est le contact d'une façon ou d'une autre, juste le contact...
Des petits bonheurs...
Ca me fait tout drôle d'écrire ces mots en ce jour... Mais je n'ai pas envie d'en parler, je n'ai pas envie envie de mettre des mots sur ce qui s'est passé il y a un an, et la "dégringolade" qui a suivie et changé tellement de choses. Mettre des mots sur des évènements passés qu'on a encore du mal, même un an après, à ne serait ce que dire, m'est impossible.
Je préfère parler de choses bien plus gaies en ce moment, non pas pour "oublier" mais parce que ça ne sert a rien de se morfondre...
Des petits bonheurs
Vous faîtes quoi quand vous allez bien ?
Mon bien être se manifeste par le faite que je mets de la musique dont je connais la mélodie ou des chansons dont je connais les paroles (dont en principe des trucs plutôt nuls, je l'avoue). Et quand ça va un peu mieux que bien, avec la musique j'ai envie de bouger... Comportement et sentiment de gamine, c'est possible. Quoi qu'il en soit je m'en fou, personne ne me voit, personne ne le sait, et ça me fait plaisir, alors pourquoi m'en priver ?
Les mecs, hallucinants comment, du jour au lendemain, ils peuvent vous faire sentir bien et mal en si peu de temps. Comment avec un petit mot, ils peuvent tout faire changer.
Les études... "quand on a pas le choix, tout va bien, quand on a le choix, tout va mal" entendu quelque part...
Elles ne sont pas faciles non plus... faire celles ci plutôt que celles là, pourquoi ? la passion du métier ? l'attirance du métier ? le défi que relève ce métier ? les avantages que représentent ce métier ? le salaire que représente ce métier ? parce ce qu'il faut bien faire quelque chose de sa vie ?
Chercher sa voie, la choisir, la trouver, hésiter, se reposer encore et toujours les mêmes questions. Priez pour que notre boulot nous intéresse et qu'on exerce avec un grand sourire, qu'on se lève chaque jour avec le même plaisir de partir travailler. Quelque chose qui nous passionne, autant que notre véritable passion.
Que les études pour y parvenir nous conviennent également. Là se pose une autre question : lorsqu'on a un but, peut on arriver à tout ?
J'entends par là, que nous savons le métier que nous désirons exercer, nous avons donc un but (qui est d'arriver à pouvoir exercer ce métier). Pour y parvenir, nous avons des études, un apprentissage à faire. Ce dernier peut ne pas nous plaire, ne pas nous intéresser, faire en sorte qu'on ne le comprenne pas et que vu l'intérêt qu'il nous porte, on cherche à le comprendre une fois, deux fois, trois peut-être mais le résultat est qu'on l'abandonne. Donc en ayant un métier en vue, peut réussir des études plus d'ingrates et dans lesquelles on ne s'épanouit pas ?
A l'heure actuelle, pour quelqu'un d'autre, je lui conseillerais de passer les quelques années d'études à passer, à fond dedans, à se priver en quelque sorte le temps des études, pour ensuite vivre pleinement ce qui l'attire.
Mais est ce que ça m'attire vraiment ? Ces études étaient censées m'attirer après tout....
A l'heure actuelle, pour moi même (oui, je me conseille de temps en temps) je me dis que les études sont importantes, si je n'arrive pas à y trouver un intérêt autre que le but de parvenir au métier, je n'y arriverais pas. Il me faut une autre motivation, étudier parce que j'aime apprendre ces cours! Parce que j'ai envie de connaitre ce savoir. Bref, si les études ne me plaisent pas je suis tout de suite démotivée et l'envie d'apprendre pour parvenir au métier disparait.
Est ce possible que ce soit parce que ce métier n'était pas celui qui m'attirait en fin de compte ? Le fait que je ne sois pas prête à sacrifier quelques années signifie peut être que je ne tiens pas forcement à exercer ce métier ?
Il est difficile de faire la part des choses, et de savoir réellement ce qu'il nous faut.
Aujourd'hui je pense donc qu'il me faut trouver un métier qui m'attire (on ne peut pas avoir une passion pour un métier si on n'a pas déjà "vécu" en quelque sorte le métier, la passion vient avec la temps, une sorte d'addiction... enfin le sujet n'est pas à la passion!). Je disais donc trouver un métier attrayant, puis voir les études, si elles sont toutes aussi attrayantes (système et contenu d'apprentissage), faut foncer ?!
Pas évident... il faut faire ces choix sans avoir suffisamment vu et vécu de choses... Un coup de poker un peu...à la différence que l'avenir n'est pas un jeu...enfin il me semble....
Il paraît que c'est lorsqu'on va mal qu'on éprouve le besoin d'écrire...
J'ai envie d'écrire, j'ai besoin d'écrire... En ce moment, j'aurais trop de chose à dire, tellement que j'y passerais trop de temps...
On ira petit à petit, un thème par un thème.
Si on écrit lorsqu'on ne va pas bien, c'est qu'il y a bien une raison ? Pour aller mieux ? Mais alors, inversement, il nous arrive d'écrire lorsque cela va bien...Pour quelles raisons ont écrit alors ? Le besoin de dire que tout va bien, qu'on est heureux, que NOUS on a pas de soucis ?
Il est vrai, pourtant, pour ma part, que j'ai plus de facilité à écrire lorsque je ne vais pas bien... Ainsi, quand j'écris c'est pas bon signe. Quoi que, il m'arrive de n'avoir plus envie de rien, même pas d'écrire, là c'est que j'ai vraiment le morale au plus bas car je n'ai même pas envie d'y penser et le fait de ne pas écrire permet d'échapper de ce dont on ne veut pas parler. Même si, à un moment où à un autre, on va y être confronté...
Bref, moi j'écris quand je vais pas bien. J'ai beaucoup de chose à dire en ce moment mais vu l'heure, je raconterais ma vie une autre fois...!
Plus d'un an ( à quelques jours près) que je le connais....
La première fois qu'on s'est vu, je m'en souviens encore, lui je ne sais pas... J'étais pas trop à l'aise mais bon.
Puis on s'est vu un peu plus à chaque fois...lui travaillant, moi m'occupant de mes affaires.
Discrète, à lui résister en ne m'intéressant pas à toutes conneries qu'il pouvait dire, c'est lui qui venait de plus en plus vers moi, qui venait me chercher pour parler de tout et rien...
Je ne compte plus le nombre de fois où il a fait allusion à mes copains (inexistants soit dit en passant), le nombre de fois où il a fait son intéressant... Et aujourd'hui voilà c'est dit, c'est fini... Tout cela est fini, tout ce qu'on vivait, tous les jours, de plus en plus proche, c'est fini... je réalise et ça va pas. Surtout avec une après midi comme celle-ci, j'en veux encore, et je veux que ça continue encore de ce sens, malgré tout ce qui nous sépare. Je veux encore encore encore...
Cependant, on dit loin des yeux, loin du cœur, je vais pouvoir savoir si c'est vrai...
En tout cas, je ne sais pas comment ça va se passer maintenant car il va falloir que je me réhabitue à tout...
<< Tu es amoureuse de moi ? >> Ca aura peut-être et même surement du bon de ne plus le voir... Je vais pouvoir arrêté de me dire qu'il est là alors que je sais pertinemment que rien n'est possible mais que j'aimais y croire au cas où... Savoir qu'il part réellement me prouve en fait que je tiens plus à lui que ce que j'ai voulu me faire croire au fur et à mesure des jours qui ont passé.
Puisqu'on a la "chance" de pouvoir personnaliser notre "espace", je la saisie (cette chance, oui faut suivre avec moi). Donc, cette personnalisation me ressemblera je pense, j'en suis certaine même. Elle risque de changer car je change de gouts. Mais un peu de changement ne fait jamais de mal, cela oblige juste à une adaptation, encore que...
Bref, faut se mettre "comme tout le monde" donc, il y aura personnalisation de ce site !
Reste à trouver ce qui me plait car le choix rend le client difficile.
Il y aura ici tout et rien...
Enfin c'est un peu con, faut l'avouer, de dire ça, "tout et rien" ne veut en fait pas dire grand chose...C'est une expression du langage de tous les jours, c'est tout.
J'écris pour personne. Vous lisez, c'est bien, vous lisez pas, c'est bien. En fait cela m'importe peu. J'écris parce que j'ai envie d'écrire et non parce que j'ai envie qu'on me lise. Au moins ça à le mérite d'être clair...!
Pour reprendre, j'écrirais ici ce dont j'ai envie de parler, pas de sujet précis en somme. Je ne chercherais pas à être régulière dans la parution des articles car quand on écrit, il faut que ce soit un plaisir, une envie, un besoin et non une obligation ou tout autre chose qui fait qu'on se dit "mince il faut que j'écrive et que je tienne à jour".
Dans la vie, tous les jours, à chaque moment, il faut qu'on fasse quelque chose...on nous le demande, on y est obligé par le boulot, la famille, les amis, les animaux, le monde qui tourne autour de nous. Or là, c'est moi qui décide. Enfin si je peux employer le mot "décider" car...c'est un peu complexe et j'ai pas envie d'en parler ce soir, donc on verra peut être, un jour, si j'en parle.
Bref, voici donc quelques mots, quelques lignes qui se trouvent parmi tant d'autres et qui n'auront pas grand succès mais, après tout ce n'est pas mon but.
Donc pour conclure, vous pouvez lire, mais je suis pas certaine que vous trouver un grand intérêt, à moins que vous vous retrouviez dans ce que j'écrirais...A voir
